Samedi 23 janvier 2010 à 22:48

La légende duhttp://www.minerva.unito.it/Alimentare/Ferrero/Immagini/nutella.jpg
Il était une fois dans un pays fort lointain que même Google Earth ne peut pas trouver, habitait, seul dans son champ de mimosas, un gnou que la société avait éhontément rejeté. Ce gnou, Blaise de son nom, souffrait terriblement de cette solitude. Un jour, Blaise se réveilla et décida de faire un bilan de sa vie, afin de se rendre compte à quel point c'était un raté: "Oh, malheureux que je suis! Qu'ai-je donc fait pour me retrouver dans une telle situation! Gudule, la lumière de ma vie, m'a abandonné; et Anne-Tuppence, sa sœur cadette, refuse de me donner sa main! Et cette société, qui m'a laissé seul à mon sort, parce qu'il est ridicule d'être né gnou!". Pris d'un élan d'énergie mystérieux, Blaise se rendit en ville afin de rendre visite à sa douce Gudule. Mais comme il avait été exilé, son champ de mimosas était très loin de la ville. Il marche très très longtemps, bravant ainsi la pluie, la neige, la grêle, le brouillard, les crayons de couleurs (?), la boue..., et 12 min 53 s (et 18 jours, tant qu'à faire) plus tard, il arriva enfin à BoucCity. Il se rendit à la hutte de Gudule. Ce fut la ravissante Anne-Tuppence qui lui ouvrit la porte: "Oh! Blaise! Tu es revenu me chercher! Comme je m'en suis voulue d'avoir refusé de te prendre pour époux! Mais comprends moi! J'avais peur qu'une telle sécision soit prise pour de mauvaises raisons! Mais je vois maintenant que tu étais sincère!
-Ôte-toi de mon chemin, chèvre! Je suis ici pour voir Gudule."
Sortie de son sommeil par tant de raffut, l'affreuse Gudule laide comme un poux rejoignit son ex-amant et sa sœur: "Qui vient donc ainsi troubler mon sommeil sans la moindre retenue...", puis, apercevant Blaise: "Tiens, V'là l'autre gnou!
-Gudule! Ma chère et tendre! Reviens-moi! Oublions le passé! Je t'aime toujours, tu sais!" Réveillé par les tentatives désastreuses (et pathétiques) de Blaise pour tenter de reconcquérir sa bien-aimée, sortir de la chambre de Gudule, plus que dévêtu, Guénolé, l'australopithèque le plus hot du village. Déconcerté à la vue de cet Apollon (Blaise se découvrait une bissexualité lors de plaisirs solitaires, voire une trissexualité si on compte les mimosas...), le gnou ne trouva qu'une seule chose à dire: "OUAH! Euh... Comment as-tu pu me faire une chose pareille Gudule?!". Il dit ces mots tout en rougissant de s'être ainsi trahi. Guénolé lui adressa un clin d'oeil. Rougissant de plus belle, Blaise prit son courage à quatre pattes, et s'exprima en ces termes: "Gudule, tu me déçois. Je suis désespéré. Tu étais ma vie, mon passé, mon avenir, et mon caillou (?). Je m'en vais me pendre. Si tu m'aimes un tant soit peu... retrouve-moi à côté de la cascade Turquoise à l'aube pour m'empêcher de metrte fin à mes jours, sous le grand Chêne.
-Non! intervint Anne-Tuppence, la magnifique. Mon amour, ne fais pas ça!
-Ta gueule, la chèvre." obtint la belle Anne-Tuppence pour réponse de son plus grand amour (Blaise, pour les deux de tension). Sur ces mots, le gnou quitta la hutte, et entreprit de se rendre directement à la cascade Turquoise, dans le but d'y attendre sa laide Gudule. Il arriva sous le grand Chêne à la tombée de la nuit, après avoir (re)bravé la pluie, la neige, la grêle, le brouillard, les crayons de couleurs (?!) et la boue. A cause de cette dernière, il se retrouva tout marron. Bien trop blessé pour ce qu'il savait qu'il en était entre Gudule et Guénolé, il avait déjà la ferme résolution de ne jamais plus se laisser dominer par cette gueuse de Gudule. Un gnou a tout de même de l'amour propre! Il mit en place un plan machiavélique: "Ah! Je me pendrai bien avant qu'elle n'arrive! Elle s'en voudra toute sa vie, mettre fin elle aussi à ses jours, et nous vivrons tous deux heureux avec Dieu la mère, qui nous guide vers la vie éternelle et qui nous guidera." Ainsi, Blaise entreprit de préparer la corde de sa pendaison, et commença à se poser des questions ("Mais si elle m'aime toujours?! Si nous avions un bel avenir devant nous?"), ou plutôt, devrais-je dire, il commença à paniquer, car, sérieusement, avez-vous déjà vu un gnou courageux? Il passa ainsi la nuit à espérer que Gudule viendrait. Lorsque le soleil daigna montrer le bout de son nez, et que le coq se mit à chanter, il se mit dans un tel état que même les écureuils prirent peur et arrêtèrent de manger leurs glands. Dans un accès de rage, il empila des caisses sous la corde préparée auparavant, et monta sur les caisses.
Non loin de là, (car Blaise avait tendance à exagérer les distances...), Gudule se levait pour se rendre sur les lieux où la tragédie devait arriver. Elle éjecta d'un coup de sabot Guénolé de son lit, et partit dans la salle de bain se refaire une beauté, car une chèvre se doit de se montrer en public telle une dame (enfin bon, Gudule était moche, et rien ne pouvait y remédier). Elle mit son parfum d'herbe aromatisée aux postillons de vache, le plus cher qu'elle possédait, et partit en direction de la cascade Turquoise. Car évidemment, il n'est agréable pour personne d'avoir sur la conscience le suicide d'un être, aussi raté soit-il. "J'espère arriver en retard, pensa-t-elle. Ainsi, je me serais déplacée, et il se sera tué avant que je n'arrive!". Ce scénario était destiné à se produire, car en effet, sur le chemin, elle rencontre Fulbert le caïman. Elle en oublia presque Blaise. Puis, sentant venir une conscience mauvaise, elle fixa un rendez-vous pour le soir même avec Fulbert, puis repartir en direction de la cascade Turquoise.
Lorsqu'elle arriva au lieu fixé, elle trouva Blaise pendu par la patte. En la voyant, le gnou sentit monter en lui un sentiment de bonheur intense: "Gudule, ma douce!! Tu es venue!". Pour toute réponse, il obtint: "Comment veux-tu mourir en te pendant par la patte!" Décontenancé, Blaise reprit: "Oh, tu ne peux pas savoir quelle joie me remplit!
-Tais-toi, gnou. Réponds à ma question.
-J'allais passer la corde autour de mon cou, mais j'ai glissé, les caisses de sont écroulées, et ma patte est restée prise au piège.
-Tu auras même raté ton suicide! Tu es un minable! UN MINABLE!" Et énervée, Gudule s'avança, arracha Blaise à la corde (la patte du malheureux s'arracha), le porta de ses bras faibles, et le jeta dans le fleuve. Le pauvre gnou n'ayant plus que trois pattes ne put nager, et mourut noyé dans le fleuve.
Enervé de s'être fait éjecter ainsi du lit, Guénolé partir sur les traces de Gudule afin de lui faire connaître de lin fond de ses pensées, en vue d'une éventuelle réconciliation (...), bien que depuis peu, ses pensées étaient occupées par Blaise le raté. Lorsqu'il arriva sur la scène du crime et qu'il vit Gudule se délecter de son acte, il pleura devant le fleuve devenu marron, (car Blaise était couvert de boue). Il entendit Gudule le traiter de faible. Pour se venger, Guénolé appela Fulbert le caïman, qui certes était un caïman, mais il était en plus juste. Il lui relata les faites, et Fulbert le juste mangea Gudule pour la punir. Guénolé, abattu par la perte de son bien-aimé se rendit sous le Chêne, à côté des caisses. Pendant leur chute, des brindilles étaient tombées des caisses. Guénolé le remarqua et se pencha pour mieux les voir. Elles formaient un mot: NUTEL. Il fut alors pris d'une idée géniale. Je me dois alors de vous rappeler que Guénolé est un Apollon, donc un Dieu, il a donc des pouvoirs que même Dieu la mère ne possède pas. Guénolé, en grand amateur de chocolat, s'avança vers le fleuve marron, et cria: "NUTELLA". Et paf, ça a fait du nutella. C'est ainsi que ce pays que même Google Earth ne peut pas trouver devint Nutelheaven, le paradis des Nutellistes, gardé par l'esprit désormais sacré de Blaise le gnou.
 
Fulbert le juste et Anne-Tuppence la magnifique se marièrent et eurent trois magnifiques filles, dont Guénolé fut désigné comme parrain. Pour leur baptême, I., B., et J. furent baignées dans la cascade Turquoise, rebaptisée cascade N..
Elles sont aujourd'hui les grandes gouroutes venues directement de Nutelheaven. Vous vous devez de les respecter.

Dimanche 29 novembre 2009 à 22:15

Bordel de saloperie de petit pois. Nom d'un schtroumpf et d'une schtroumpfette empaillés et/ou immolés. Je ne sais pas par lequel de mes exploits j'ai réussi à me choper cette #^¤$=@~& ! de grippe. Et moi qui pensait que la grippe, tu restais chez toi, en étant juste reconnue en temps que malade, mais en fait tu restais en culotte à danser et à chanter du HSM à longueur de journée. VINDIOU NON! La grosse arnaque! T'es cloîtrée chez toi, avec l'INTERDICTION ABSOLUE de franchir les portes du lycée. Tu lis ça, tu te dis: "Bah le rêve de toute personne normale qui se respecte!" Eh bien non. Parce que tu te lèves le matin, t'as 39,7 de fièvre, tu comprends pas ce qu'il t'arrive, et tu prends ton oreiller pour ZE/Casimir/Kermit. Tu te recouches à 11h, pour te réveiller à 18h15 et être aussi pimpante qu'une jonquille défraîchie, ou qu'un boursin digéré. Remarque, avec ma campagne VOUS FAITES PAS VACCINER!! j'ai maintenant une super raison de pas me faire vacciner. 
N'empêche que, moi, ce genre de situation, je ne l'accepte pas! Moi, meme mourrante, je me lève, et me traîne dans le salon (si je suis pas retombée raide morte sur mon lit). Aujourd'hui, dimanche 29 novembre, après 2 jours de fièvre et tralala, je décide de braver le métro et d'aller aux champs Elysées contaminer tout Paris (m'en fous j'les connais pas). Irir m'annonce qu'elle est elle aussi désormais malade. On est deux, YOUHOU! Mais n'empêche qu'elle voulait que je me pointe en anglais contaminer la prof (NB: faire un article sur cette chose, qui ne mérite meme pas l'appellation de chose, qui doit très certainement etre apparentée à notre cher compatriote J.-M. Le Pen). Mais aller en cours alors que mon QI est encore voisin de celui d'une huître congelée m'expose encore à etre sujette à des réactions plus ou moins douteuses, telles que jouer à la marelle (trèèèèèèès en vogue en TS à H-IV, si, si, je te promets), aller sur l'ordinateur à la recherche du plan d'accès de Schtroumpf-les-Bains (mon lieu de vacances idéal depuis que je lis le Journal de Mickey chez le kiné), ou encore tenter de faire bouffer ses "CHUT" à la nana du CDI.
N'empêche, moi, la calin addict, le lycée ça me manque. J'vais tenter un petit forcing mercredi (alors que je suis en quarantaine jusqu'à jeudi, HAHAHA, JOANO LA REBELLE!)

 


N'empêche que moi, cette grippe,
elle aura fait de moi une militante ardente
du mode Légume Bouilli (de Bernouilli*).




 
*Vieille blague pourrie d'une S grippée.

 
Plus tard (genre 5 minutes), avec une motivation de schtroumpf délavé...: 
JE TIENS QUAND MEME A PRECISER QUE C'EST A CAUSE DE CETTE SALOPERIE DE HANDBALL QUE JE ME RETROUVE AVEC UNE VOIX QUI EST UN REMIX DE CELLES DE JOHNNY HALLYDAY, DANIELA MARTINS (oui j'ai honte de mes références) ET DE MISS FINE. Bon, d'accord, j'avais qu'à pas jouer à moitié à poil alors qu'il fait -53°C dehors, MAIS QUAND MEME! Notons qu'après cela, on s'est ruées, Maelou, Irir, et moi-meme à l'UGC Odéon, comme toutes les adolescentes qui se respectent, aux fins de voir Twilight. Oui, bah moi, je maintiens que Loup-Garou on the left is THE sexy guy du film, que si, si, quand à la fin Jacob désire parler à Edward, c'est à des fins plus charnels les concernant tous deux (parce que sinon, POURQUOI serait-il torse nu et exposerait-il ainsi ses abdos, hein?!, moi j'dis faut creuser la piste du ménage à trois...), et que, bordel, on n'est pas aussi connes (jure...) pour tomber devant, dès les 5 premières minutes du film, un Edward au ralenti avec un chemise volant au vent et un regard de braise que meme Michael Jackson (SI IL ETAIT EN PLASTIQUE!!! RIP) fond devant (non, on est pas tombées amoureuses, meme pas un tout petit peu, n'insiste pas), aux fins de rappeler THE real moment, (là, j'admettrai que j'ai fondu), avec ses Ray-Ban noires <3 ... Bon, je vais m'arrêter ici, mon lit m'appelle.

Jeudi 15 octobre 2009 à 19:37

Les vacances, on a tous plus ou moins hâte qu'elles arrivent. Ou plutôt, on en a tous besoin à notre façon. C'est un truc auquel j'avais jamais fait attention avant, et c'est peut-être la terminale qui nous monte à la tête. En tous les cas, j'ai réalisé ce matin qu'elles feraient le plus grand bien à chacun d'entre nous. J'avais déjà commencé à en ressentir le besoin, mais dans mon cas, je m'en suis réellement aperçue dimanche matin, lorsqu'en me mettant à mes maths à 11h du matin dans le salon, je me suis retrouvée télé allumée en train de regarder Blanche-Neige. Je ne suis pas tout à faire sûre que ce soit le meilleur moyen pour rendre les révisions plus rentables. Toujours est-il que j'ai remarqué que le phénomène se produisait aussi chez ma Irir, qui, en plus de chanter tout le temps HSM (par ma faute je l'avoue), en plus de passer tout le cours de Spé à regarder le Panthéon et la tour Clovis par la fenêtre parce que "MAIS IL Y A DU SOLEEEEEEEEIL!!! C'EST BEAU!! CA CHANGE DE COULEUR!!", a été surprise (par moi-même) à accompagner la cloche de l'Eglise qui sonne l'heure de sa douce voix. Là, je me suis dit c'est indéniable, on en est tous au même point.
Enfin bref, article qui ne sert à rien. Juste à faire part de mon mode loque après un DS de physique riche en émotions.
 


BATTEZ VOUS! DANS LA BOUE!

Dimanche 11 octobre 2009 à 17:15

La rentrée, ou plutôt LE truc, par excellence, pour faire chier tout élève du genre commun. Déjà, pour moi, cette année ça n'a pas été comme les autres. Habituellement, je rentre genre 15 jours avant la rentrée. Sauf que cette année, avec le voyage à Vienne, je suis rentrée seulement 5 jours avant. Comme conséquences, 2 semaines de tourisme intensifs au lycée, avant de réaliser que bon, le contrôle de physique, c'est pas en écoutant Brit-Brit qu'il va se réviser. J'ai donc à grands regrets quitté mes rêves de princesse Sissi vivant dans son chateau (jaune!!) à Schönnbrunn, ainsi que son très sympathique labyrinthe auquel j'ai failli foutre le feu pour sortir plus vite (je me suis abstenue parce que la suie c'est sale), et j'ai fait la connaissance de ma très charmante prof de maths dont les décibels de sa voix connaissent parfois un paroxysme inédit (et qui considère les spé SVT pour des sous merdes, normal me direz vous, je suis dedans), on retrouve avec ô combien de joie la magnifique, extraordinaire, agréable BDC (Balai Dans le Cul), notre vénérable prof d'anglais aux méthodes ô combien pédagogiques ("This is stupid! I can't see the interest! Why isn't anyone raising his hand. Answer me, WHY!!", ou encore en version française: "Allez-y, dites nous comment vous avez traduit. Allez-y, allez au bout de votre phrase. Ne vous arrêtez pas! Continuez! [ l'élève dit sa phrase... ] BAH C'EST FAUX. Quelqu'un d'autre?") et aux pensées ô combien admirables ("Yes Aurélien, you are totally right! Immigrants do break into houses and they do burn cars! There are too many immigrants in Europe! Very good!", c'est d'ailleurs ce jour-là que je me suis demandée si je m'étais pas trompée de salle et que par hasard j'étais pas dans une réunion du FN..).
Mais l'entrée en terminale, c'est avant tout la sécouverte d'une nouvelle matière tellement géniale que tu te demandes comment t'as fait pour survivre avant sans avoir essayé: la philosophie! Bon, enfin, philosophie c'est un bien grand mot. Dans mon cas, c'est une matière où le prof est jaloux de notre prof de SVT, et donc qui nous refait son cours. Mal, certes. Car mon prof de philo, si on le croise dans la rue, tu te dis: "Lui, c'est un supporter du PSG." Enfin une matière qui sert à rien quoi. En plus, aujourd'hui (le 11 octobre), il a toujours pas changé de T-shirt... Nous découvrons également le nouveau prof d'histoire en Allemand, qui nous sort "Zi 'aben reschte." Plaît-il? En allemand ça donne quoi? "Sie haben Recht.". Ah, c'est déjà mieux. Même moi, avec mon accent arabe, je me démerde mieux. Alors bon, c'est vrai que pendant le cours, la concentration est à son comble. Entre Choupinou qui se retourne pour me dire: "Hey, tu trouves pas qu'il ressemble à Jimmy Neutron?", Bébé qui se propose de mettre un mot anonyme dans le casier du prof sur "comment ne pas paraître une victime en cours", le prof qui fait son cours tout seul au tableau (en écrivant des phrases que même moi, après 3 tentatives de suicide pour avoir fini mon pot de nutella j'aurais pu faire) sans parler à personne, et qui plus est prétend que "die grosse Messe" se traduit "la grosse messe" (pourquoi pas la marmite power tant qu'on y est?!), et Irir, qui exaspérée par un accent si prometteur s'excite toute seule: "MAIS FAIS QUELQUE CHOSE BORDEL!! TU PEUX PAS RESTER COMME CA!", et moi, qui m'autoappelle à chaque cours parce qu'apparemment mon nom serait imprononçable... JOIE DU MARDI SOIR!



Parce que la rentrée, on kiffe tous grave de chez sa reum.

 
Un candystring s'en allait au bois
Il y rencontra un candybra
Et badaboum naquit le candychapeau
Mais ils ne se marièrent pas et l'enfant était illégitime
Alors ils le mangèrent
HAHAHA


(créé en cours de philo, l'original se trouve dans l'agenda d'Irir en attendant la vengeance du candychapeau)
All rights reserved.

Samedi 29 août 2009 à 15:50

Article rédigé le 27/08/09:


Chaque jour, nous exigeons du fromage blanc et du yahourt àha laha vahanille.


Un voyage de classe en août, logique, au goût des Mozartkugeln, des Wanner, de quartiers de citrons qui n'ont pas le goût de MES citrons [Citrouchou (nouveau nom), si tu m'entends, CONNARD, mais je t'aime toujours quand même]. Nous, pauvres créatures de la gente féminine, avons malgré nous subit les exhibitions des mecs en slips, (Certaines images ne s'oublient jamais, oh non, jamais! Je resterai traumatisée.) non mais franchement, est-ce que moi je me trimbale en soutif et en string BORDEL?! Bref, passons. Un voyage ou des gens se transforment en gremlins (faut vraiment que je voie le film). Bébé et moi nous aimons toujours comme au premier jour, bien qu'elle m'ait déjà annoncé que le divorce était imminent (le mariage a eu lieu le 7/08/09), et bien qu'elle est déjà engagé Gabou, notre fille adoptive, pour avocat. Nous empaquetons avec regrets nos affaires, soit mon 1,5kg de Wanner, mes 600g de Mozartkugeln, au son de l'ambiance que met Bébé (Youhou Gigi!), soit Lorie, THE tube, Ta meilleure amie.
Aujourd'hui, cadeau de mariage un peu en retard, Bébé et Gabou m'ont mis du HSM en BO pendant que je prenais ma douche, j'étais trop heureuse je te raconte pas. J'aurais eu du nutella j'aurais pas été aussi heureuse. Elles m'ont même glissé une photo de ZE sous la porte. Mouillée, certes, mais quand même.
Avec Irir, nous découvrons, ô combien joyeusement les horreurs dont regorgent certains musées (JE VEUX LE FAUTEUIL A POIL VERT DANS MA CHAMBRE!!!), ainsi que des poulets qui se font embrocher (j'm'y connais pas mal sur ce rayon). Nous avons également redécouvert (merci Philipp) Egon Schiele, qui a une vision, comment dirai-je, particulière et bien à lui de l'art comme du corps humain (mais on lui pardonne, il était torturé).
Ma réputation HSM a été dévoilée au grand jour, je sens qu'à la rentrée, tout le lycée sera au courant. FUCK.
 

Parce que moi, à Vienne, j'ai vu le véritable village des Schtroumpfs.

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